laetitia

La pluie ne cessait de tomber. A l'abri sous la tente de David, j'entrepris alors de faire plus ample connaissance.

C'est ainsi que j'appris qu'il venait de Bourgogne, qu'il avait 18 ans, qu'il venait passer les 2 mois dans le camping pour y travailler (il allait surtout s'occuper de l'entretien du camp) afin de financer son permis de conduire. Il me remercia à plusieurs reprises pour l'aide que je lui avait, par deux fois, apporté.
"Je ne sais pas comment te remercier Laetitia,
- et bien, moi je sais, devenons amis ! qu'en dis-tu ?
- avec plaisir mais... tu l'as vu surement... je suis un peu timide... faut pas m'en vouloir
- t'inquiète pas... "
Je ne sais pas ce qui m'a pris à ce moment là, mais j'ai ajouté
 "... avec des beaux yeux comme ça, tu es pardonné d'office !
- euh... ben... merci... c'est gentil... (malgré la pénombre, je le devinais écarlate !)
- désolée... je ne voulais pas te géner,
- bah... non... ca ne me gène pas... en plus, tu es... vraiment... très jolie je trouve
- merci beaucoup".
Sur ces mots, je m'approchais de lui et lui fit une bise amicale sur la joue.

Il était hyper troublé... je le regardais et il n'osait affronter mon regard. Pour ne pas trop le mettre mal à l'aise, je me mis à regarder par une petite fenêtre pour voir si la pluie se calmait. Prétexte stupide puisque l'on entendait parfaitement la pluie tomber sur la toile tendue... Pendant que je regardais au dehors, j'avais la véritable impression que l'on observais sous toutes les coutures. En effet, dans ma vision périphérique, j'ai remarqué que David était en train de me détailler de la tête aux pieds. J'étais habillée léger, un débardeur un peu moulant qui mettait ma poitrine en valeur, une petite jupe et des sandalettes. David baissa le regard lorsque je fis de nouveau face à lui.
" Toi aussi tu es beau, tu sais ? lui dis-je
- tu trouves ?
- bien sûr"
Je me rapprochais de lui et lui caressa la joue : "embrasse moi" lui murmurais-je.
Il tendit le cou et me déposa un tout petit baiser sur la joue.
Je pris un peu de recul et le regardais fixement dans les yeux. Il avait le regard assez fuyant.
"regarde moi David... et embrasse moi encore"
Cette fois, il n'hésita pas et m'appliqua un long baiser sur la bouche. Je le pris dans mes bras et me serrai alors contre lui... je pu remarquer que son excitation était déjà bien avancée !! Volontairement, j'avais placé ma cuisse entre ses jambes...
Il a bien sûr compris immédiatement que j'avais remarqué son érection, il commençait à avoir chaud, son front luisait de sueur. "Je suis désolé... excuse moi... mais tu es trop belle, ca me fait de l'effet
- hum... oui... j'ai remarqué ça... mais ne t'excuse pas, c'est tout à fait normal, non ?
- euh... ben... oui.... surement...
- comment ça surement ?
- ben... comment dire... j'ai pas vraiment l'habitude..."
Je compris immédiatement que ce beau gosse était sans doute encore puceau.
" ce n'est pas grave David, mais si ca te gène, je m'en vais de suite
- non... reste... s'il te plait."

Alors je suis restée...

J'ai commencé par l'embrasser longuement. Cela, visiblement, ce n'était pas la première fois qu'il pratiquait.
Puis je l'ai embrassé dans le cou, déboutonné sa chemise, embrassé sur son torse aux pectoraux développés et me suis attardée sur ses tétons. J'ai continué en remontant jusqu'à sa bouche. Il m'embrassait gouluement, Pendant que nos langues s'entremélaient, il commença à me carresser le dos. Moi, je lui carressait les fesses  et frottais ma jambe contre son sexe durci au travers de son bermuda. Nous sommes restés ainsi un bon moment puis je l'ai pris par la main et l'ai amené sur son matelas pneumatique. Je le fis se coucher sur le dos et me mis à califourchon sur lui. Jé défis ma queue de cheval et retira mon débardeur. David n'en perdait pas une miette, il ne faisait pas totalement nuit et il dévouvrit ma poitrine nue. Je lui pris les mains et les lui posait sur mes seins. Ses mains étaient douces et chaudes. Il me massa délicatement les seins pendant un moment. Je me penchai alors vers lui et les lui donnais à embrasser, ce qu'il fit assez maladroitement...
Je me rabaissa et, tout en embrassant son torse, son ventre, je descendis jusqu'à son sexe toujours emprisonnés.Je défis les quelques boutons de son bermuda puis lui fis glisser vers les chevilles. Son sexe faisait une bosse énorme. Je me mis à embrasser ses cuisses en remontant progressivement. Puis mes baisers s'attardèrent sur son slip humidifié par l'envie. Je me mis ensuite à le caresser au travers de son slip puis libéra sa verge qui se dressa comme un diable qui sort de sa boite. En plus d'être beau gosse, David était particulièrement bien équipé ! Je pris son sexe d'une main et commença à le masturber doucement. David commençait à gémir de plaisir et, alors que je m'apprétais à le prendre dans ma bouche, je reçu une belle giclée de son sperme sur ma joue. David se redressa d'un coup et s'excusa "oh... oh.... excuse moi... je suis désolée... j ai pas pu me retenir...".

Agenouillée entre ses jambes, son sexe à la main, je lui répondis "aucune importance, ce n'est pas grave... mais on va terminer ce que l'on a commencé".

A suivre