laetitia

Pendant ce temps là... Surprise ! La suite par Sabrina qui m'a fait le plaisir d'écrire ces quelques lignes... (fôtes d'ortografe et mise en forme corrigées par mes soins... bonne lecture)

J'avais quitté Laeti vers 20h pour rejoindre le bar du camping où Bruno - le barman gay - m'attendait pour lui donner un coup de main. Le traditionnel "pot d'arrivée" du camping devait commencer par un mot d'accueil de la direction et des animateurs, petit discours et punch à volonté. Ma "mission" consistait, dans un premier temps, à servir le punch en salle puis à remplacer une barmaid malade derrière le comptoir jusqu'à la fin de la soirée.

Arrivée au bar, Bruno me toisa avec un regard perçant :
"Ah mais ma chérie, tu ne peux pas être habillée comme cela pour faire le service !"
Cela commençait bien... Je m'étais fait - je crois - toute belle, toute de blanc vêtue.
"Bon... et comment devrais-je donc m'habiller ?
- toute en noir ma belle, c'est la couleur du staff
- ah... bien, je dois avoir ça, je courre me changer
- va dans le vestiaire, juste derrière le comptoir, il y a des tenues propres, cela devrait t'aller".
En fait de vestiaire, il s'agissait de la réserve dans laquelle un coin était aménagé pour pouvoir se changer. Cette pièce communiquait avec le comptoir et elle n'en était séparée que par un simple rideau. Il y avait là plusieurs tenues rangées sur une étagère et, effectivement, une mini-jupe noire et un des t-shirts siglé à l'enseigne du camping semblaient pouvoir m'aller.

J'entrepris donc de me déshabiller afin d'enfiler ma tenue de travail. Une fois mon jean blanc et mon haut retirés, j'eus comme un drôle de pressentiment. J"étais en sous-vêtements, string et soutien-gorge blancs. J'avais franchement l'impression que l'on m'observait. Cette impression fut vite confirmée lorsque je vis la tête de Bruno dépasser du rideau de la porte.
"Dis-donc, ça va ? tu te régales au moins ?
- pas mal du tout ma nouvelle collègue, répondit-il d'un air joueur
- je te croyais homo ??
- oui mademoiselle, c'est vrai. Mais ça ne m'empêche pas d'apprécier la vue, surtout quand c'est agréable à regarder
- ouais... ben va voir ailleurs si j'y suis ! non mais..."
J'enfilais alors, vite fait bien fait, la mini-jupe et le t-shirt noirs et rejoignis la salle où le monde commençait à affluer.

Vers 20h30, la salle était comble et le directeur, Jean-Michel, fit son discours d'accueil puis présenta les membres de son "staff" : Chantal son épouse et animatrice pour les enfants, Bruno le barman, Vanessa sa fille et responsable de l'accueil, Anne et Pascal les surveillants de la piscine. Il cita également quelques autres personnes, la barmaid absente et des intervenants extérieurs ainsi que David, le responsable de la propreté et de l'entretien du site qui manquait étrangement à l'appel (il m'a fallut alors faire un bel effort pour ne pas pouffer de rire). Puis, il invita ses convives à partager le verre de l'amitié et, croisant mon regard, s'aperçut qu'il avait oublié de me présenter.
"Je vous invite donc à vous approcher de la table où le punch vous sera gracieusement servi par... cette charmante demoiselle qui se prénomme ?
- Sabrina, répondis-je timidement
- La belle Sabrina, hurla Bruno, mort de rire qui sortit de son comptoir pour me rejoindre

Bruno m'aida à faire le service pendant un bon moment puis retourna à son comptoir. Le "pot" dura une bonne heure pendant laquelle je fis la connaissance de l'équipe (le fameux "staff"). Mais dans le lot, le plus sympa et, sans aucun doute le plus beau mec de la soirée, c'était le directeur, Jean-Michel. Dommage qu'il fût marrié et même papa ! Cependant, j'avais remarqué qu'il m'observait régulièrement du coin de l'oeil. Non comme le ferait un patron qui surveille son employée, mais plutôt comme un dragueur. D'ailleurs, j'ai eu le droit ce soir là à de nombreux sourires et compliments de sa part et j'avoue que la situation m'émoustillait un peu.

Le pot fut fini lorsque le punch vint à manquer. Après avoir débarrasser les verres et pichets vides, je rejoignis Bruno derrière le comptoir.
" T'as taper dans l'oeil de Jean-Mi ma belle !
- ça se pourrait bien mais il est marrié, père, dirlo et accessoirement mon patron.
- faut dire, il a plutôt bon goût
- merci Bruno"
Bruno me regardait avec insistance et me détaillait de bas en haut et de haut en bas.
" T'en as pas marre de me mater comme ça ?
- ah non, t'es trop belle !
- c'est sympa de ta part mais je te rappelle que je suis une fille moi ! y a des tas de mecs pas mal ici...
- oui c'est vrai, mais j'ai rien contre une ptite aventure avec une belle nana de temps en temps tu sais...'
Je ne répondis pas et me remis au travail. Pendant que Bruno faisait le service, je m'occupais essentiellement au nettoyage et au rangement du comptoir. De temps à autre, je croisais Bruno derrière le bar et, le passage étroit aidant, il ne manquait pas une occasion pour se frotter à moi. Je ne relevais pas plus que cela car il n'y avait franchement pas de quoi se braquer d'une part, et, d'autre part, j'étais relativement troublée par cette situation. D'autant que Jean-Michel observait la scène et ne tarissait pas de m'envoyer quelques sourires.

Le restant de la soirée se déroula ainsi, sans plus. Vers 23h, Jean-Michel s'adressa d'abord à Bruno :
" Bruno, assez bossé pour ce soir, tu peux fermer quand tu veux.
- ok boss ! je sers les derniers clients et je ferme
- ça marche. Je vais vous laisser. Salut Bruno et bonne fin de soirée Sabrina, merci beaucoup pour le coup de main. Passe me voir demain au bureau, si tu veux, je peux te proposer un job ici même, ok ?
- oui, merci beaucoup monsieur, je n'y manquerai pas, c'est vraiment sympa de votre part
- pas de monsieur, voyons... Jean-Michel ! me lanca-t-il avec un clin d'oeil et un large sourire
- ok Jean-Michel, à demain alors".

Après avoir terminé de tout remettre en ordre, je pris congé de Bruno
" Salut belle enfant, et bonne nuit !
- merci, bonne nuit à toi aussi et à demain lui répondis-je en lui tendant la joue.
Il me déposa un baiser que je lui rendis.
' Fais pas attention aux bétises que j'ai pu te dire, hein ? Mais bon... t'es quand même sacrément jolie !
- merci et t'inquiète pas... collègue !
- ok... collègue ! au fait... je n'ai pas vu Laetita de la soirée ?
- c'est vrai, elle était trop crevée ce soir.
- ah... ben tant pis, fais lui une bise de ma part. Salut !"

Je pris alors le chemin du chalet. Je n'avais qu'une seule envie : prendre une bonne douche et filer au lit.
Une fois arrivée, je n'entendis rien. Laeti devait certainement être endormie et David avait certainement rejoins sa tente à l'heure qu'il était. J'entrais alors dans la chambre prudemment pour ne pas réveiller ma copine mais je m'aperçut bien vite qu'elle n'était pas là. Bizarre... Elle m'avait pourtant bien dit qu'elle resterait sur place... Sans doute avait elle changé d'avis... Elle devait certainement être avec David, dans sa tente.
Pas plus inquiète que cela, je pris une douche bien chaude. En sortant de la salle d'eau, vêtue du long t-shirt qui me servait de chemise de nuit, je me retrouvais nez-à-nez avec Laetitia, à poil !

Un index posé devant sa bouche me fit comprendre que je ne devais pas parler trop fort
" Je t'ai réveillé... tu n'es pas seule ?
- non, il est là... il dort
- bah dis donc... c'est les grands amours !
- tu parles... on en est pas là. Et toi, bien ta soirée ?
- oui oui, je te raconterai des trucs marrants... je crois que j'ai un ticket avec le patron !
- Jean-Mi ? ça m'étonne pas... un vrai tombeur... et, en plus, sa femme s'en fout !
- ouais ben... maintenant c'est mon patron, faut pas déconner. faut que je passe demain pour qu'il me propose officiellement le boulot.
- trop cool, je m'en doutais !
- oui c'est cool, bon ben je vais me coucher moi... je suis un peu crevée... j'ai pas passé mon temps à faire des galipettes si tu vois ce que je veux dire
- tu plaisantes, cela fait au moins 2 heures qu'on dort... c'est un rapide le David !
- bah remotive le un peu, tu sais y faire il me semble ?
- oui oui... et d'ailleurs, il me vient une idée..."

Son idée était très simple : elle me proposait tout simplement de me substituer à elle dans le lit avec David !!
Je n'étais pas vraiment d'accord et elle me proposa alors un autre délire : que je vienne faire un petit strip-tease devant eux afin de remotiver David. Pourtant fatiguée par ma soirée, et après que Laetitia eut insisté lourdement, j'acceptais ce scénario.

Laetitia rejoignit David dans le lit et alluma juste une petite lampe genre "liseuse". Elle découvrit les draps et je pus admirer le corps musclé de David. Il était allongé sur le dos et je distinguais également très bien son sexe. Il était vraiment bien gaulé et la nature l'avait bien doté ! Cela donnait franchement envie.
J'abandonnais alors les tourtereaux pour enfiler une tenue plus sexy que mon vieux t-shirt trop long. Je choisit de porter un string et un soutif noir et de remettre mon petit haut blanc avec la mini-jupe noire prétée par le camping.
Une fois prête, je rejoignis la chambre de Laeti et David.

David était réveillé et fut extrèmement surpris et géné de mon intrusion dans la chambre. D'un geste réflexe, il se recouvrit le corps avec le drap.
" C'est la surprise dont je t'ai parlé, lui dit alors Laetitia
- mais... mais que...
- chuuut... et regarde."
Sous le drap, je pouvais percevoir le mouvement d'une des mains de Laetitia. Elle était en train de masturber David qui n'en croyait pas ses yeux. La situation commençait à m'exciter également.
Lentement, je commençais alors mon effeuillage.
Je fis d'abord glisser mon haut puis ma mini-jupe. Pendant un moment, je me trémoussais devant eux en sous-vêtements. Le mouvement manuel de Laetitia devenait franchement plus ample. David rougissait à vue d'oeil. Puis, de dos, je dégraffais mon soutien-gorge, me cambrais pour qu'ils puissent profiter de la vue de mes fesses. Enfin ,je leur fis face. Le drap ne cachait plus le corps de David et je puis me rendre compte à quel point il était excité. Il bandait sévère ! Laetitia lui carressait le torse et l'embrassait dans le cou. David avait repris son sexe en main, et c'est lui qui se masturbait désormais.

Je décidais alors de m'approcher de David, du côté du lit où il se trouvait. Tout près de lui, je lui tournais alors le dos et fis glisser mon string. Mes fesses étaient à quelques centimètres de son visage. Je sentis qu'il s'approchait. Il me déposa alors un baiser sur chacune de mes fesses et glissa une main dans mon entre-jambes. J'étais trempée d'excitation.

"Tu nous rejoins Sabrina ? Me demanda alors Laetitia.
- oui, rejoins nous" insista David.

Au point où nous en étions, il n'étais pas question qu'il en fut autrement !

A suivre...

Le lendemain, premier dimanche de nos vacances, Sabrina et moi avions consacré notre journée au farniente, levées tard, ballade et piscine du camping. C'est là que j'ai retrouvé David. Son travail consistait à entretenir le camping et notamment la piscine. Il passait donc très régulièrement s'assurer de la propreté des abords des bassins. A de nombreuses reprises, il passa devant nous alors que nous exposions nos corps pales au soleil. Après ce qui s'était passé la veille, je pensais qu'il profiterai d'une pause pour venir me voir mais, au contraire, il n'en fit rien et nous évitait !
Dans la journée, j'avais raconté toute l'histoire à Sabrina et elle s'étonnait également que David ne vienne pas nous aborder. A la fin de l'après-midi, au moment de quitter la piscine pour retourner au chalet, Bruno nous invita à une soirée d'accueil organisée par le patron, au bar. Nous avons bien évidemment accepté, d'autant que Bruno comptait présenter Sabrina au patron afin de lui proposer qu'elle remplace temporairement une des barmaids défaillante. Si cela marchait, elle pourrait commencer le soir même.



Sur le chemin du retour, nous avons croisé David. Celui-ci nous ignora et cela commençait à m'énerver un peu. Du coup, je l'interpellai sur le champ :
" Alors David, on ne salue pas les copines ?
- ah... salut les filles, ça va ?
- oui très bien, mais tu es aveugle ou quoi ? tu nous as croisé toute la journée et même pas un bonjour !!
- euh... ben je suis désolé... mais j'ai eu des consignes...
- des consignes ?? quelles consignes ?
- ben... quand j'ai signé mon contrat de travail hier soir, le boss m'a dit que je devais garder certaines distances avec les clients. Sa fille était présente et à ce moment là, elle a bien ri. Je crois qu'elle se doute de quelque chose.
- tu n'as rien à craindre, Vanessa est mon amie et je ne suis pas sûre qu'elle sache quoi que se soit.
- bon, faut que je vous laisse, j'ai encore du boulot.
- ok ok... tu viens à la soirée ?
- le personnel n'est pas invité je crois
- bon, je vais m'arranger pour que tu puisses venir, si tu le veux bien...
- ben oui, je veux bien, merci c'est gentil !
- de rien, on se rejoins à 20h à notre chalet, ok ?
- ok !"
Sur ces mots, je lui fis un petit bisou furtif puis nous nous rendimes au chalet, David vacant à ses occupations.



Arrivées au chalet, Sabrina et moi nous sommes préparées pour la soirée. Sabrina s'habilla tout en blanc : jean moulant et un petit haut très sympa. Pour ma part, j'optais pour une petite robe légère, dos nu. Il allait être 20h, nous étions prêtes.
" T'es sexy ma Laeti !
- merci, toi aussi, ça te va bien
- bon, on y va ?
- je vais attendre David, pars devant, nous te rejoindrons
- ok, et je ne me fais pas de soucis si tu tardes un peu ?
- toi, tu me connais trop bien !!"
Nous étions morte de rire. Effectivement, Sabrina me connaissait très bien et elle avait bien compris que je profiterai du rendez-vous au chalet pour passer un moment avec David. Elle partit en me lançant "Amusez vous bien !"

David arriva un tout petit peu après 20h.
"Je suis en retard, désolé...
- ce n'est pas grave, tu es là et c'est cela qui compte,
- oui... alors c'est bon, je peux aller à la soirée avec vous ?
- Sabrina est déjà partie et... je suis désolée mais je n'ai pas eu le temps d'arranger l'affaire avec Bruno et la direction.
- Mince... ben c'est dommage... je vais te laisser alors.
- Pas question ! A moins que ma compagnie t'ennuie...
- mais non, pas du tout, mais que va-t-on faire ?
- entrons dans le chalet, on s'en fout de la soirée d'acceuil !"

David entra. Je refermais la porte derrière lui et le pris dans mes bras. Il s'ensuivit alors un long baiser. Il s'était fait beau et sentait très bon. "J'ai très envie de toi" lui dis-je. Il ne disait mot. Toujours autant intimidé.
Je le pris par la main et l'emmena jusqu'à la chambre de mes parents, la seule qui était équipée d'un lit deux personnes.
Je me suis alors assise sur le lit, il était debout devant moi.
"Déshabille toi, s'il te plait" lui demandais-je.



A suivre...

La pluie ne cessait de tomber. A l'abri sous la tente de David, j'entrepris alors de faire plus ample connaissance.

C'est ainsi que j'appris qu'il venait de Bourgogne, qu'il avait 18 ans, qu'il venait passer les 2 mois dans le camping pour y travailler (il allait surtout s'occuper de l'entretien du camp) afin de financer son permis de conduire. Il me remercia à plusieurs reprises pour l'aide que je lui avait, par deux fois, apporté.
"Je ne sais pas comment te remercier Laetitia,
- et bien, moi je sais, devenons amis ! qu'en dis-tu ?
- avec plaisir mais... tu l'as vu surement... je suis un peu timide... faut pas m'en vouloir
- t'inquiète pas... "
Je ne sais pas ce qui m'a pris à ce moment là, mais j'ai ajouté
 "... avec des beaux yeux comme ça, tu es pardonné d'office !
- euh... ben... merci... c'est gentil... (malgré la pénombre, je le devinais écarlate !)
- désolée... je ne voulais pas te géner,
- bah... non... ca ne me gène pas... en plus, tu es... vraiment... très jolie je trouve
- merci beaucoup".
Sur ces mots, je m'approchais de lui et lui fit une bise amicale sur la joue.

Il était hyper troublé... je le regardais et il n'osait affronter mon regard. Pour ne pas trop le mettre mal à l'aise, je me mis à regarder par une petite fenêtre pour voir si la pluie se calmait. Prétexte stupide puisque l'on entendait parfaitement la pluie tomber sur la toile tendue... Pendant que je regardais au dehors, j'avais la véritable impression que l'on observais sous toutes les coutures. En effet, dans ma vision périphérique, j'ai remarqué que David était en train de me détailler de la tête aux pieds. J'étais habillée léger, un débardeur un peu moulant qui mettait ma poitrine en valeur, une petite jupe et des sandalettes. David baissa le regard lorsque je fis de nouveau face à lui.
" Toi aussi tu es beau, tu sais ? lui dis-je
- tu trouves ?
- bien sûr"
Je me rapprochais de lui et lui caressa la joue : "embrasse moi" lui murmurais-je.
Il tendit le cou et me déposa un tout petit baiser sur la joue.
Je pris un peu de recul et le regardais fixement dans les yeux. Il avait le regard assez fuyant.
"regarde moi David... et embrasse moi encore"
Cette fois, il n'hésita pas et m'appliqua un long baiser sur la bouche. Je le pris dans mes bras et me serrai alors contre lui... je pu remarquer que son excitation était déjà bien avancée !! Volontairement, j'avais placé ma cuisse entre ses jambes...
Il a bien sûr compris immédiatement que j'avais remarqué son érection, il commençait à avoir chaud, son front luisait de sueur. "Je suis désolé... excuse moi... mais tu es trop belle, ca me fait de l'effet
- hum... oui... j'ai remarqué ça... mais ne t'excuse pas, c'est tout à fait normal, non ?
- euh... ben... oui.... surement...
- comment ça surement ?
- ben... comment dire... j'ai pas vraiment l'habitude..."
Je compris immédiatement que ce beau gosse était sans doute encore puceau.
" ce n'est pas grave David, mais si ca te gène, je m'en vais de suite
- non... reste... s'il te plait."

Alors je suis restée...

J'ai commencé par l'embrasser longuement. Cela, visiblement, ce n'était pas la première fois qu'il pratiquait.
Puis je l'ai embrassé dans le cou, déboutonné sa chemise, embrassé sur son torse aux pectoraux développés et me suis attardée sur ses tétons. J'ai continué en remontant jusqu'à sa bouche. Il m'embrassait gouluement, Pendant que nos langues s'entremélaient, il commença à me carresser le dos. Moi, je lui carressait les fesses  et frottais ma jambe contre son sexe durci au travers de son bermuda. Nous sommes restés ainsi un bon moment puis je l'ai pris par la main et l'ai amené sur son matelas pneumatique. Je le fis se coucher sur le dos et me mis à califourchon sur lui. Jé défis ma queue de cheval et retira mon débardeur. David n'en perdait pas une miette, il ne faisait pas totalement nuit et il dévouvrit ma poitrine nue. Je lui pris les mains et les lui posait sur mes seins. Ses mains étaient douces et chaudes. Il me massa délicatement les seins pendant un moment. Je me penchai alors vers lui et les lui donnais à embrasser, ce qu'il fit assez maladroitement...
Je me rabaissa et, tout en embrassant son torse, son ventre, je descendis jusqu'à son sexe toujours emprisonnés.Je défis les quelques boutons de son bermuda puis lui fis glisser vers les chevilles. Son sexe faisait une bosse énorme. Je me mis à embrasser ses cuisses en remontant progressivement. Puis mes baisers s'attardèrent sur son slip humidifié par l'envie. Je me mis ensuite à le caresser au travers de son slip puis libéra sa verge qui se dressa comme un diable qui sort de sa boite. En plus d'être beau gosse, David était particulièrement bien équipé ! Je pris son sexe d'une main et commença à le masturber doucement. David commençait à gémir de plaisir et, alors que je m'apprétais à le prendre dans ma bouche, je reçu une belle giclée de son sperme sur ma joue. David se redressa d'un coup et s'excusa "oh... oh.... excuse moi... je suis désolée... j ai pas pu me retenir...".

Agenouillée entre ses jambes, son sexe à la main, je lui répondis "aucune importance, ce n'est pas grave... mais on va terminer ce que l'on a commencé".

A suivre