laetitia

David semblait comme pétrifié.
Alors que je soutenais son regard, il baissa la tête comme l'aurait fait un petit garçon que l'on vient de gronder. Néanmoins, il commença lentement à s'éxécuter. Il dégraffa d'abord sa chemise qu'il laissa tomber à terre, laissant apparaître son torse d'athlète. Puis, il entreprit de se débarrasser de ses basket et il faillit même tomber. Enfin, il déboutonna son jean, et pudiquement, en me tournant le dos, le fit tomber jusqu'à ses chevilles. Je n'en perdais pas une miette. Je m'étais installée confortablement à la tête du lit et en observant ses fesses encore cachée par son boxer moulant, j'avais relevé ma petite robe sexy et me carressait à travers mon slip.
"Retourne toi s'il te plait"
David se retourna et fut visiblement surpris du spectacle que je lui offrais. Toujours aussi pudique, sans doute à cause de la lumière du jour qui régnait encore dans la pièce, il avait placé ses mains devant son sexe.
"Tu es excité ?" lui demandais-je
- oui, plutôt
- je n'en crois rien, montre moi..."
Il écarta ses mains et je puis constaté, à l'énorme bosse que formait son sexe dans son boxer, qu'il disait vrai.
"Je ne vois pas très bien, enlève ce slip qui te gène tant"
Il s'éxécuta aussitôt et fit apparaître sa très belle queue. Il bandait comme un taureau.

Je me suis alors mise à "quatre pattes" sur le lit, lui faisant face et me suis approchée de lui.
Il compris immédaitement quelles étaient mes intentions et s'approcha du lit pour me présenter son sexe.
Je commençais alors à le léchouiller du bout de la lanque et à appliquer de petits baisers sur son gland gonflé à bloc. J'allais et venais le long de sa queue, allant jusqu'à lécher ses bourses. La position n'étant pas très confortable, je me suis alors assise sur le bord du lit, face à lui. Je le fis tourner sur lui même pour embrasser ses fesses musclées et dans le même temps, j'avais pris sa verge dans ma main et le masturbais lentement. David gémissait déjà de plaisir. Ne voulant pas précipiter les choses comme la fois précédente, je décidais alors de faire une petite pause et me levais derrière lui.

Collée dans son dos, mes mains glissais sur toutes les parties de son corps. Je le fis se retourner et lui demandais alors de me déshabiller. Il ne se fit pas prier. Ma robe glissa rapidement à mes pieds. Puis, il dégraffa mon soutien-gorge avec une facilité étonnante. Il se mit à admirer mes seins qu'il découvrait pour la première fois. Je pris ses mains et les plaçais sur ma poitrine. Il commença à me carresser tout doucement, c'était très bon.
Je le pris ensuite par le cou pour l'embrasser puis, appuyant fortement sur l'une de ses épaules, fit descendre sa tête vers ma poitrine qu'il embrassa gouluement. J'appuyais encore d'avantage pour qu'il poursuive sa descente. Il se retrouva rapidement à genoux, m'embrassait le ventre et le nombril. Sa tête au niveau de mon pubis, je lui fit comprendre qu'il lui fallait enlever le dernier rempart de coton qui cachait mon intimité.

Je sentis alors ses mains se poser le long de l'extérieur de mes cuisses et remonter vers mes hanches. Elles se glissèrent sous mon slip qui rejoignit illico ma robe que j'avais encore aux chevilles. Je décidais alors de me rasseoir au bord du lit en ouvrant les jambes pour découvrir ma petite chatte aux yeux ébahis de David. Je repris alors ma masturbation, David observait attentivement. Je lui demandais alors de se carresser également. Il se releva et tout en continuant de me mater, il se masturbait devant moi. Nous sommes restés ainsi pendant quelques instants puis je l'invitais à me rejoindre. A ma grande surprise, il se remit à genoux entre mes jambes et commença à embrasser l'intérieur de mes cuisses.
"Moi aussi j'aimerai te faire jouir comme tu l'as fait pour moi hier" me dit-il
Je pris alors sa tête entre mes mains et le guida jusqu'à mon entre jambes.
Il se mit à me lécher la chatte, sa chaude langue allait de bas en haut dans ma fente déjà bien humidifiée de désir. Il trouva rapidement le chemin de mon petit bouton et il s'y prenait rudement bien ! Il s'amusa à titiller mon clito bien durcit et m'introduisit un doift qu'il faisait aller et venir lentement. Je m'abandonnais complètement et au bout de quelques minutes je sentis un premier orgasme m'envahir toute entière...

David s'installa ensuite sur le lit, près de moi. Il couvrit la quasi totalité de mon corps de baisers pendant que je reprennais mes esprits.
"Waouh, moi qui pensais avoir affaire à un débutant !
- c'est la première fois, je t'assure me répondit-il
- et bien ne change rien, c'est parfait. Mais maintenant, beau gosse, à mon tour de te faire grimper au rideau".

David était allongé sur le dos, le sexe droit comme un "i".
Je lui fis relever ses jambes et me mit à lui lécher les couilles allant jusqu'à les gober. Puis je me suis attardée sur son gland, l'embrassant et le léchant longuement avant de le faire coulisser dans ma bouche aussi profondémment que je le pouvais. Je lui massais les couilles et osais même lui titiller l'anus du bout du doigt. Il gémissait de plus en plus et je savais qu'il ne résisterait pas longtemps à ce traitement.
Je me suis alors mise au-dessus de lui et j'ai commencé à frotter mon sexe contre le sien. Les lèvres de ma chatte branlaient sa belle queue luisante et dure. David n'en pouvait plus. Je fis alors une petite pause et en profitais pour prendre ses mains et les placer sur ma poitrine. Il me carressa doucement. Je m'approchais alors de lui pour l'embrasser à pleine bouche. Entre deux baisers, je sentis qu'il dirigeai son sexe vers l'entrée du mien. Il trouva le chemin et, ouverte comme je l'étais, il me pénétra très lentement mais sans aucune difficulté. Je sentis cette belle queue m'empaler profondément et me mis à onduler du bassin pour la faire aller et venir en moi.

Mais David était bien trop excité. Après quelques mouvements, je sentis son sperme brulant se déverser en moi. Il n'en pouvait vraiment plus. Je me laissais aller et m'étalais sur lui, en l'embrassant tendrement.
"Je ne pouvais pas me retenir plus, s'excusa-t-il
- ce n'est pas grave, c'etait très bien... et ce n'est pas fini, reposons-nous un peu"

A suive